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Abstract

Les isotopes Zn ont fait l’objet de nombreuses études théoriques1-13. La plupart prend en compte les orbites 2P3/2, 1f5/2 et 2P1/2 dans l’hypothèse d’un cocur inerte de 56Ni.
Signalons qu’un assez bon accord entre l’expérience et ces calculs est obtenu pour l’ensemble des noyaux de Zinc, en considérant que la majorité des nucléons actifs se trouve sur l’orbite 2P3/2.
Nous avons entrepris létude de l’isOtope 63Zn par spectroscopie . Ce noyau a fait l’objet de plusieurs études expérimentales. Notons en particulier les réactions (P,P’), (3He, ) et (P,d) conduisant à un grand nombre de niveaux de spins relativement bas 22-24) Dans ce travail, nous avons entrepris l'étude de l’isotope 63Zn jusqu’à une énergie
d’excitation de 4MeV, par la rèaction 61Ni (?,2n)63Zn. Cette rèaction est particulièrement favorable à l’étude du niveaux de grands spins 26-37). L’analyse des spectres de coincidences et les rèsults des traveaux antèrieurs nous ont permis de construire le schèma de la figure 5.
L'absence de coincidence des raies 1013 KeV et 882 KeV (tableau 1; spectres 2,3) met en doute la prèsence de la cascade 882, 496; 1013 et 193 KeV proposée par Sawa 38). Il faut attendre d’autres confirmations pour établir sa existence dèfinitive.
La reaction 61Ni (?,2n)63’ Zn présente l’avantage de se’lectionner un nombre restreint de niveaux de spins. relativement élevés, permettant ainsi une analyse simple des résultats et en particulier la mise en èvidence de la cascade 1176, 882, 640, 870, 193 KeV.